À Points communs en novembre, puis à la Tempête en février, Ahmed Madani reprend "Incandescences", sa création chorale autour des amours au cœur des cités.
Au CDN d’Orléans, fermé en raison des restrictions sanitaires, Julie Delille cisèle sa dernière création, une invation aux amours dévorantes.
Au Phare, centre chorégraphique national du Havre Normandie, Emmanuelle Vo-Dinh, directrice du lieu, prépare sa prochaine création.
Au théâtre Jean Vilar de Vitry, fermé pour cause de Covid, Julien Bouffier répète sa création, une adaptation de Dans la Foule de Mauvignier.
A la tempète, sans public, Guillaume Bardot parachève son adaptation d’Alabama Song, une biographie passionante de Zelda Fitzgérald.
Au TNB, fermé en raison des restrictions sanitaires, Arthur Nauzyciel recrée en version numérique et live Splendid’s de Jean Genet.
Au TGP, vide de public, Gaëlle Hermant fait corps avec ses comédiens et donne vie à la Danse Dehli imaginée par l’auteur russe Ivan Viripaev.
Aux Subs à Lyon, David Gauchard et Martin Palisse répètent inlassablement et peaufinent le spectacle né de leur collaboration, Time to tell.
Au Centquatre, Kaori Ito propose une performance vibrante sur l’importance de regarder la mort dans les yeux.
Au théâtre de Lorient, à huis-clos, Rodolphe Dana crée sa version contemporaine de Bartleby d'Herman Melville.