Au TGP, puis au TNP en février prochain, Jean Bellorini s’empare avec une délicatesse infinie d’Onéguine, l’œuvre phare de Pouchkine.
Au Cado d’Orléans, qu’il dirige, le metteur en scène Christophe Lidon nous offre une nouvelle version de Mademoiselle Julie.
Edouard Louis s'expose sur la scène des Abbesses-Théâtre de la ville sous le regard bienveillant de Thomas Ostermeier.
Au théâtre Paris-Villette, la compagnie LRIR propose une plongée drôle et émouvante au coeur des mécanismes de pensée des dyslexiques.
Au théâtre Antoine, la nouvelle comédie des auteurs du Prénom vaut pour la belle performance du duo Berléand et Demaison.
A Biarritz, Le Temps d'aimer la danse, premier grand festival de la saison consacrée à la diversité chorégraphique, bat son plein.
Au théâtre de la tempête, Clément Poirée et Emmanuelle Bayamack-Tam revisitent Marivaux avec fougue et espiéglerie.
A l'Atelier de Paris, Thomas Hauert et le duo Florencia Demetri-Samuel Lefeuvre défient le temps, son inexorable fuite.
En ouverture du Festival d’Automne à Paris,dès l'aube, Gwenaël Morin monte, à la Villette, trois tragédies antiques de Sophocle.
Au théâtre 13-Jardin, Ronan Rivière monte une version covid compatible d'une savoureuse farce de l'auteur russe Gogol.