Après Les adieux de Monsieur Hafmann, Jean-Philippe Daguerre repart dans la période trouble de l’occupation allemande. Son nouvel opus, Le petit coiffeur, trace l’émouvant portrait d’une famille prise dans les tourments de l’épuration. Un spectacle fort.
Dans le cadre des Singulis du Français, Didier Sandre s’empare d’un texte très intime de Paul Claudel, écrit à l’aube de ses cinquante ans.
A la Comédie de Valence, Alice Zeniter questionne l’importance de la fiction par rapport au réel dans un seul-en-scène drôle et singulier.
A la Comédie de Valence, Lorraine de Sagazan propose un voyage au coeur de la mémoire d’un mal voyant et signe un spectacle délicat et humain.
Au Lucernaire, Bruno Abraham-Kremer plonge au cœur du processus créatif de Nicolas de Stael, peintre au style évolutif de l'après-guerre.
La comédie de Reims ouvre sa saison avec Ton Père, une adaptation du roman autobiographique de Christophe Honoré signée Thomas Quillardet.
Au théâtre Olympia, Jacques Vincey ouvre sa saison en adaptant à la scène, Les Serpents, l’âpre roman de Marie Ndiaye.
Anne Contensou et Rébecca Chaillon présentent, aux Plateaux sauvages, un spectacle des plus singuliers, Elle/Ulysse.
Au Ranelagh, Didier Brice installe, son Homme sans soucis, adapté librement de L’indigent philosophe de Marivaux.
A la halle tropisme, dans le cadre de Montpellier Danse 40 bis, Mathilde Monnier reprend son solo Défilé pour 27 chaussures.