A la porte Saint Martin, Françon adapte le brûlot antinazi de Bernhard et signe un huis clos étouffant porté par un trio infernal d'acteurs.
Jean-Jacques Vanier reprend, à la Divine Comédie, pour le plus grand plaisir de tous, son excellent spectacle A part ça la vie est belle.
A l’Atelier, la pétulante Émeline Bayart monte On purge bébé de Feydeau et lui donne des ailes grâce des intermèdes musicaux savoureux.
Au Théâtre du Ranelagh, Marion Bierry adapte avec gourmandise Les Romanesques une œuvre de jeunesse d'Edmond Rostand.
Chaillot rouvre ses portes avec un Don juan revisité par le chorégraphe suédois Johan Inger et la compagnie italienne Aterballetto.
Tout Dostoïevski, en 1h05, voilà le pari que Benoît Lambert et Emmanuel Vérité relèvent tous les soirs au Lucernaire.
Seul sur scéne au Théâtre de Sartrouville, Vincent Dissez, dirigé par Sylvain Maurice, se glisse avec fièvre dans les mots de Lagarce.
Au Centre culturel Jacques Tati d’Amiens, Olivier Mellor et sa Compagnie du Berger montent La Noce de Bertolt Brecht.
Aux Abbesses-Théâtre de la Ville, Adi Boutros questionne la masculinité dans un ballet homo-érotique entre combat fraternel et danse virile.
Au théâtre Marigny, la troupe de la Comédie-Française plonge dans l’univers de Proust sous le regard gourmand de Christophe Honoré.