Au centre Pompidou, Qudus Onikeku peaufine Re:incarnation, sa dernière création, qui sera diffusée en streaming le 27 janvier à 19h.
Faute de pouvoir se tenir avec un public, la 4e édition de Trajectoires, festival de danse, se joue portes closes.
Au théâtre de Saint-Quentin en Yvelines, David Gauchard propose à quelques professionnels d’assister à un filage de Nu, une pièce documentaire en devenir sur le métier de modèles vivants. Avec délicatesse, il met en lumières ces artistes de l’ombre, qui avec pudeur font de leur nudité un habit, une arme, un moyen d’expression. Quitter Paris, prendre l’autoroute direction la Normandie, à un côté bucolique en cette période hivernale bien grise et
Au Théâtre-Cinéma de Choisy-le-Roi, Laurent Hatat présente son adaptation moderne du dernier volet de la trilogie du Barbier de Séville.
Au ThéâtredelaCité à Toulouse, Bruno Geslin adapte, avec la complicité de Jean-Michel Rabeux, Edouard II de Christopher Marlowe.
Dédié aux cultures du monde, le festival les Vagamondes, organisé par la Filature, ouvre ses portes en version uniquement numérique.
Au Mans, Pauline Sales explore, à travers,le portrait de femmes artistes, l’évolution du féminisme au cours des 70 dernières années.
Au théâtre de Chelles, Home de la metteuse en scène franco-allemande Magrit Coulon ouvre le bal d’un festival impatience 2020 à huis clos.
A la MC93, devant un petit nombre de professionnels, Didier Ruiz présente sa dernière création, Que faut-il dire aux Hommes ?
Chamboulée par le reconfinement , la dernière création du jeune prodige Simon Falguières se joue en petit comité au Théâtre du Nord.