Au théâtre de Nanterre-Amandiers, Gisèle Vienne présente son adaptation très cérébrale de L’Étang, roman de jeunesse de Robert Walser.
Dans le cadre de la première édition du festival transfrontalier iTAK, le collectif Back Pocket présente le chat de Schrödinger.
Au Moulin du roc, puis au Méta, Eliakim Sénégas-Lajus remonte le fil du temps et plonge ses comédiens-danseurs dans une cour de récré.
Vu aux Bords 2 Scènes de Vitry-le-François, The Lulu projekt ranime un référentiel punk pour raconter l'errance d'un adolescent égaré.
Au théâtre de Belleville, , Pauline Ribat remonte le fil de ses souvenirs et ceux de sa famille afin de retrouver l’image de l’homme qui lui a donné la vie.
Au Rond-Point, Daniel Pennac raconte en creux l'histoire de son frère disparu à travers les mots du Bartebly de Melville.
Au Grand Parquet, dans le cadre de la quatrième édition du JT, Nicolas Girard-Michelotti présente une maquette plutôt aboutie de Barbie sur le récif.
Chaillot, Étienne Rochefort explore les contours d’une nouvelle danse, construite à partir de portraits vidéos TikTok.
Au Vieux-Colombier, Le duo prodige Stéphane Varupenne-Sébastien Pouderoux revisite à la sauce pop rock acidulée les Précieuses ridicules de Molière.
Sur la scène du Studio de la Comédie-Française, Pierre Louis-Calixte convoque, à la demande d’Éric Ruf, les fantômes de sa vie, ainsi que ceux de de Molière.