Aux Théâtre des Béliers, Les mémoires de Paul Paladin, première pièce de Grégory Corre, nous entraine du rire aux larmes
La metteuse en scène Justine Heynemann et la comédienne Eléonore Arnaud nous invitent à la belle Traversée en eau claire dans une piscine peinte en noir de Cookie Mueller.
À l’Artéphile, Clémence Caillouel se glisse dans la peau d’une Dalida complétement déjantée, outrageusement maquillée autant que démente.
Avec Coup de sifflet, François Rivière et Edwige Despres signent un huis-clos haletant dans une France d'après-guerre aux prises avec son histoire.
À l’Artéphile, Catherine Vasseur adapte Quand toute la ville est sur le trottoir d'en face de Jean Cagnard, lauréat du Grand Prix de littérature dramatique 2018.
À l’espace Roseau Teinturier, Pierre Azéma et Alex Metzinger présentent leur remarquable adaptation théâtrale du Livre que je ne voulais pas écrire d’Erwan Larher.
À l’Agora, à l’occasion des trente ans de la disparition de Dominique Bagouet, le jeune ensemble chorégraphique du CNSMD de Paris recrée, Necesito, pièce pour Grenade, sa toute dernière création.
Au Hangar théâtre, dans le cadre de Montpellier Danse, Muriel Boulay plonge dans sa boite à souvenirs, un vieux carton à chapeau délavé, et esquisse avec tendresse le récit de sa vie.
Au Théâtre de la Vignette, Michèle Murray célèbre, à sa manière abstraite, expressionniste, le printemps, l’arrivée des bourgeons, l’éclosion des premières fleurs.
Au Studio Bagouet de l’Agora – Cité internationale de la danse, Nacera Belaza continue à explorer la pénombre, les jeux de lumières sombres.