Au Festival d'Avignon, Meng Jinghui adapte Le Septième Jour, roman de Yu Hua racontant l'errance d'un homme sans sépulture après sa mort.
Au théâtre Isle 80, avant d'atterrir à l'Essaïon à Paris, la Compagnie des Ames libre s'empare avec talent d'Une vie de Maupassant.
Florence Cabaret livre avec drôlerie son quotidien de bipolaire, à travers les mots de Denis Lachaud et une mise en scène de Catherine Schaub.
Si vous voulez savoir pourquoi, Les parents de Charlie se séparent, courez au Béliers pour en connaître la raison.
Au Grand Conservatoire d'Avignon, François Bureloup incarne avec brio Augustin Mal n'est pas un assassin de Julie Douard.
Au Train bleu, dans le cadre de la Sélection suisse en Avignon, Kiyan Khoshoie, et sa complice metteuse en scène Charlotte Dumartheray, présente Grand écart, une autiobgraphie caustique et sans concession.
Avec Solitaire, Sofia Adrian Jupither donne une forme originale et économe à la dernière pièce de Lars Norén. Une parabole sombre, voire étouffante.
Le spectacle de la Compagnie Comme Si, Deux Rien, enchante les spectateurs de l'Espace Roseau Teinturiers.
Entre jeu et confidence, Catherine Salviat se dévoile dans 36 chandelles dans la Maison de Molière.
Au Festival d'Avignon, la chorégraphe sud-africaine Dada Masilo revisite, avec Le Sacrifice, le Sacre du Printemps de Stravinsky.