Au Studio-théâtre de la Comédie-Française, Elsa Lepoivre adapte le roman de Delphine de Vigan.
Au français, Laurent Delvert adapte de manière condensée Gabriel, roman dialogué de George Sand.
À la Comédie de Béthune, qu'il dirige, Cédric Gourmelon monte corde.raide de debbie tucker green. Efficace, cette mise en scène donne à entendre, dans une traduction inédite, ce texte acéré, kafkaïen et politique.
À Chaillot-Théâtre national de la Danse, l'israélienne Sharon Eyal et la britannique Oona Doherty ouvrent la saison avec deux piéces explosives.
A la Scala de Paris, dans Respire de Sophie Maurer, Roman Bohringer fait retentir un ode à la vie.
Aux Plateaux Sauvages, Vanasay Khamphommala convoque la nymphe Écho et poursuit l’exploration des mythes antiques à l’aune de sa propre histoire.
Au Théâtre de la Reine Blanche, Sabine Pakora présente La Freak et rappelle non sans humour que noire n’est pas un emploi.
Au théâtre du Rond-point, où il a ses habitudes depuis plus d’une vingtaine d’années, Pippo Delbono, tout de blanc vêtu, traîne joliment sa tristesse et chante l'Amore.
Au Lucernaire, Bruno Putzulu reprend son spectacle Les Ritals, adapté du roman biographique de François Cavanna.
En s’attaquant à La légende du Saint Buveur de Joseph Roth, auteur austro-hongrois (1884-1939), Christophe Malavoy réalise un ouvrage rempli de poésie et de tendresse.