Au théâtre Dunois, avant d’investir le Domaine d’O, Julien Bouffier poursuit, avec la complicité de l’écrivaine québécoise Marie-Claude Verdier, son exploration des tragédies antiques au temps présent.
À l’atelier de Paris, en partenariat avec le Festival d’Automne à Paris, Ivanna Müller poursuit son exploration des points de rencontre entre salle et scène.
Le monde du silence gueule de Julia Duchaussoy, mis en scène par Pierre François Martin-Laval, rend hommage au monde sous-marin.
Au Paradis de l’Athénée, Salle Christian-Bérard, l’ami et comédien fétiche de Tiago Rodrigues, Tónan Quito, attend désespérément le retour du metteur en scène, disparu un matin et plus jamais reparu.
Présenté au Festival d'Automne à Paris, la mise en scène de Pierrot Lunaire par Marlene Monteiro Freitas fête le mariage de la chorégraphe capverdienne et du compositeur autrichien.
Au CentQuatre dans le cadre du festival impatience, Nicolas Barry présente "Grand Crie", sa toute première création.
Dans « 我 是 谁? (Wǒ shì shéi) Qui je suis ? », Mylène Bonnet met en scène un échange au long cours entre une Française et une Chinoise séparées par les histoires nationales.
A la Reine Blanche, Un incident de Vincent Farasse fait entendre les dérèglements de notre société.
À l’Espace des Arts de Chalon-sur-Saône, la chorégraphe et krumpeuse présente Elles disent, sa toute dernière création pour quatre interprètes.
Portée par la mélodie lancinante d’India Song, par la mise en scène au cordeau de William Mesguich, l’interprétation admirable de Catherine Artigala, ce spectacle esy d’une facture remarquable.