Du Kunstenfestivaldesarts au Printemps des Comédiens, Léa Drouet plonge avec «J'ai une épée» dans l'enchevêtrement complexe de l’imagination enfantine et de la répression politique.
Dans «Tatiana», Julien Andujar dresse son bouleversant autoportrait d'artiste à travers l'évocation de sa sœur disparue.
À la Manufacture des Abbesses, Pierre Notte remonte sa «Pédagogie de l'échec», une comédie férocement drôle sur le monde du travail.
Aux Déchargeurs, Samuel Yagoubi revêt son habit de "Bon petit soldat", pour faire entendre le texte fort de Mitch Hopper.
Au théâtre de l'Essaïon, puis au Festival d'Avignon, Philippe Nicaud présente son conte rock, inspiré de l'œuvre de Shakespeare, Macbeth.
À Théâtre en mai, les circassiens Andrés Labarca et Sylvain Decure incarnent un étonnant duo dans une maison hantée.
Au théâtre des Déchargeurs, la «Tiquetonne» de la compagnie Le Saut du Tremplin séduit par sa poésie et son esprit.
À Richelieu, Lisaboa Houbrechts adapte la «Médée» d'Euripide avec Sephora Pondi dans le rôle-titre, et la noie dans une surcharge d'effets.
Au théâtre du Marais, Alexandre Oppecini signe avec «Main dans la main» une romance entre deux hommes que tout semblait opposer.
Dans «Hedda», Aurore Fattier ressort l'héroïne ibsénienne de derrière son rideau pour lui trouver des résonances contemporaines, mais sa forme peine à convaincre.