À la maison de la Musique de Nanterre, Lou Cantor reprend la pièce que lui a écrite Mickaël Phelippeau en 2018.
Le jeune comédien, à l'univers poétique et délirant, présente son premier seul-en-scène au théâtre.
Dans La Joconde parle enfin, Laurent Ruquier prête toute sa verve à l'inénarrable comédienne en faisant revivre le modèle le plus célèbre au monde.
Aux Plateaux Sauvages, les deux artistes à la tête de la cie Toujours après minuit font danser les mots de Marie Dilasser et invitent à un pas de deux féminin amoureux plein de tendresse.
Avec Looking for Jaurès, co-écrit avec Marie Sauvaneix, qui signe également la mise en scène, le comédien, compagnon de route de Guédiguian, propose, à travers l'art de l'acteur, une magnifique réflexion sur notre époque.
Autour de morceaux choisis de livres qu’il affectionne, le comédien nous offre un instant précieux de théâtre doublé d'une belle leçon de vie.
Avec son spectacle Pourquoi mon père ne m’a pas appris l’arabe ?, la jeune autrice-metteuse en scène franco-marocaine évoque, dans une autofiction rondement menée, l’intrusion du politique dans la sphère de l’intime et ses bouleversements.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
Au Théâtre de Belleville, le metteur en scène, ancien co-directeur du théâtre 13 avec Colette Nucci, porte au plateau, de manière chorale, Ceux qui se sont évaporés.
En clôture du Festival Les singulier.es, organisé par le CentQuatre-Paris, le chorégraphe chambérien, directeur depuis août 2022 du Tanztheater de Wuppertal, présente son dernier solo, une œuvre à bout de souffle.