Avec Looking for Jaurès, co-écrit avec Marie Sauvaneix, qui signe également la mise en scène, le comédien, compagnon de route de Guédiguian, propose, à travers l'art de l'acteur, une magnifique réflexion sur notre époque.
Autour de morceaux choisis de livres qu’il affectionne, le comédien nous offre un instant précieux de théâtre doublé d'une belle leçon de vie.
Avec son spectacle Pourquoi mon père ne m’a pas appris l’arabe ?, la jeune autrice-metteuse en scène franco-marocaine évoque, dans une autofiction rondement menée, l’intrusion du politique dans la sphère de l’intime et ses bouleversements.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
Au Théâtre de Belleville, le metteur en scène, ancien co-directeur du théâtre 13 avec Colette Nucci, porte au plateau, de manière chorale, Ceux qui se sont évaporés.
En clôture du Festival Les singulier.es, organisé par le CentQuatre-Paris, le chorégraphe chambérien, directeur depuis août 2022 du Tanztheater de Wuppertal, présente son dernier solo, une œuvre à bout de souffle.
À la demande de l’administrateur du Français, Eric Ruf, Justine Heynemann met en scène et adapte avec sa complice Rachel Arditi, la célèbre bande dessinée de Pénélope Bagieu.
Salle Sarah Bernhardt, le directeur du Théâtre de la Ville s’empare d’une des pièces les plus féériques du répertoire et invite à plonger dans un bal des illusions visuellement réussi mais en manque d’intensité dramatique.
Au Poche Montparnasse, dans une mise en scène remarquable de Nicolas Briançon, Christophe Barbier fait revivre Les Diaboliques de Barbey d'Aurevilly.
Thierry Harcourt met en scène avec une belle créativité ce grand classique du théâtre de l’absurde, donnant ainsi à Frédérique Tirmont et Bernard Crombey deux rôles en or.